SOLAR CLUB CERN
Débat problématique énergétique / effet de serre / climat, etc.
EFFET DE SERRE

L'effet de serre connu depuis longtemps
     Horace Benedict de Saussure a émis l'hypothèse de l'effet de serre en 1798 en se promenant dans les Alpes, et Fourier déclare en 1824 que l'établissement et le progrès des sociétés humaines, l'action des forces naturelles, peuvent changer notablement et dans de vastes contrées, l'état de la surface du sol, la distribution des eaux et les grands mouvements de l'air. De tels efforts sont propres à faire varier, dans le cours de plusieurs siècles, le degré de la chaleur moyenne ». 
     John Tyndall, lorsqu'il reprend les travaux de Fourier, affirme : «L' histoire de l'homme n'est donc qu'une petite ride à la surface de l'immense océan des temps. La persistance d'un état de la nature inorganique favorable à la continuation du séjour de l'homme sur la Terre semble assurée pour une période de temps bien plus longue que celle durant laquelle ce monde a déjà été habité; de sorte que nous n'avons rien à craindre pour nous-mêmes, ni pour de longues générations après nous » 

Info transmise par Fabrice Flipo - fabrice.flipo@ifrance.com par le biais de la liste climat -Racf - liste-climat-racf@domeus.fr

Réflexion de départ: Electricité nucléaire, la pub qui trompe


· Influence de l'activité solaire?
· CO2 dumping by humans (Geophys. Res Lett. 27. 225, 2000
· Et si le CO2 n'expliquait pas tout? (Nature, no 6813)
· CO2 pas cher au Vietnam! (Source: Terre sacrée
· Le Nucléaire, parade à l'effet de serre? (Courrier de l'Unesco, 2/2001
· Le nucléaire contre l'effet de serre? (SEBES
· Le nucléaire n'est pas la réponse à l'effet de serre (IEER
· "Can Nuclear Power Provide Energy for the Future; Would it Solve the CO2 Emission Problem?"
Voir enfin "Actualités controversées"

Modélisation de l'effet de serre par le National Center for Atmospheric Research (NCAR) - juin 2004


Piégeage du CO2 dans les océans (Changing Ocean Chemistry):
Almost half of the CO2 produced by burning fossil fuels ans other human actions from 1800 to 1994
has ended up in the oceans, where it may harm sea life, including corals.
The map shows the total amount of carbon (left behind after the gas is absorbed) that has accumulated in each patch of ocean.
The North Atlantic holds the most because that is where cooled surface waters sink, filling more of the water column with carbon.
Voir également texte publié dans Science, du 16/7/2004
· Dossier d'étude de l'école des Mines de Paris (2000)
· Dossier de Météo-France
· Mission Interministérielle de l'Effet de Serre (France)
· Effet de serre: plus on sait, moins on agit (Courrier de l'Unesco, juin 2001)
· Les CIRRUS sont des soupapes; Les modèles soufflent le chaud et le froid, articles de S&Vie, mai 2001
· Environmental Effects of Increased Atmospheric Carbon Dioxide ?!... OISM: Oregon Institute of Science and Medecine (USA)
· Inquétant réchauffement climatique (Le Monde, 2000 et 2001)
· La peste ou le choléra?
· La biosphère n'est peut-être pas de notre côté: envirodev.org (Environnement et développement durable)
· Climat, un dossier chaud (Courrier de l'Unesco, 10/1998)
· Site du Réseau Action Climat (énergie, transports, habitat)
· Mission interministérielle à l'effet de serre: Contribution et évolution par gaz et par secteurs (2002)
· EVACUATION: C'est une première, où les gens sont obligés d'évacuer à cause d'une montée des eaux... annoncée. Le réchauffement climatique en est la cause. C'est l'archipel de Tuvalu, en Micronésie, et sa surface totale n'est que de 25 km2 répartie en 9 atolls. Sa capitale, Funafati a subi au printemps une marée de 3,2 m d'amplitude alors qu'aucun endroit de Tuvalu n'est à plus de 4,5 m au-dessus du niveau de la mer... Dès 2002, les 11.000 citoyens de Tuvalu seront accueillis par la Nouvelle Zélande. Cette évacuation ne sera certes pas la dernière: la prochaine, celle des Iles Maldives, abritent quelque 311.000 habitants. (source TT)

"Ozone or not ozone?"

· Le réchauffement à l'attaque de la couche d'ozone (S&V, février 2001, No 1001)
· Curiosité et paradoxe de la pollution atmosphérique (Source Lautrinfo):
    En ville, les combustions (transports, chauffages, etc...) produisent entre autres du monoxyde d'azote NO et du dioxyde d'azote NO2.
    Le NO2 réagit à la lumière pour former de l'ozone O3. ( NO2 + lumière + O2 ---> NO + O3 )
    En présence de NO, l'ozone est rapidement détruit par la réaction inverse ( NO + O3 ---> NO2 + O2) et il y a peu d'ozone présent.
    C'est ce qui se passe en ville, le NO produit par les combustions maintient un taux d'ozone bas.
    Lorsque le NO2 arrive en campagne, il y a beaucoup moins de NO et l'ozone a une durée de vie beaucoup plus longue.
    Il y a donc peu d'ozone là ou la pollution se fait.
Transmis par François Fresneau - fresnef@agf.fr

    Pour autant, il ne faudrait pas redouter une catastrophe qui serait due, elle, à la fonte de la banquise arctique: celle-ci a beau représenter 25 fois la surface de la France en hiver et 13 fois en été, elle flotte: de même qu'un glaçon dans un verre, cette eau de mer congelée ne fera pas monter le niveau de l'océan si elle fond, principe d'Archimède oblige! (Ceci dit, la fonte des glaces terrestres - situées pour 10% au Groenland et pour 90% en Antarctique - pourrait submerger les continents sous... 70m d'eau. Une telle liquéfaction demanderait au moins 7.000 ans, selon des études déjà publiées en 1999...)