-Activité de ¹²⁹I multipliée par 10 depuis 1970.

Diminution de l’activité des ¹⁴C, ⁹⁰Sr et ¹³⁷Cs depuis 1980.

-Diminution de l’activité du plutonium.

-Le dépôt de Pu au sol (r =20 km) est, en 1992, de 160 à 280GBq.

0,022 TBq par an de 1952 à 1975 et 0,024 en moyenne de 1997 à 1999. 

-Facteur de réduction: 2,7 pour ¹⁴C, 168 pour ⁹⁰ Sr et 205 pour le ¹³⁷Cs entre 1979-81 et 1990-92. 

-Le Pu alpha diminue en moyenne annuelle 40 fois entre 1952-92 et 1993-99 et 10 fois entre 1992-93 et 1999.

-Comme il a été rejeté 3700GBq de ^239+240Pu et 23,7 TBq de ²³¹Pu, le dépôt au sol est plus important que cela.

-40 000 TBq de césium 137 rejetés,

-130 000 TBq d’émetteurs bêta rejetés,

-1600 TBq d’émetteur alpha (Pu et Am) rejetés.

-Augmentation depuis la mi-90 de l’activité du ¹⁴C, ⁶⁰Co, ⁹⁰Sr, ⁹⁹Tc et ¹²⁹I.

-41 285 TBq ont été rejetés de 1951 à 1999, 

-150 886 TBq rejetés de 1951 à 1992, (du ¹⁴ C, ⁹⁰ Sr +,

⁹⁰ Y, ⁹⁵Zr+⁹⁵Nb, ¹⁰⁶Ru+¹⁰⁶Rh, ¹³⁴Cs+¹³⁷Cs, ¹⁴⁴Ce+¹⁴⁴Pr) [5].

-1311 TBq rejetés de 1951à 1999.

-Facteur d’augmentation: pour ¹⁴C =6,2, le ⁶⁰Co=7,5m, le ⁹⁰ Sr=6,6, le ⁹⁹Tc =77 et 2 pour ¹²⁹ I entre 1990 et 1995.

-Le ¹⁴C est multipliée par 4, le ⁸⁵Kr par 5 et le tritium par 3 dans la décade 1990-99.

-Pas de mesure du ³⁶Cl, du ⁹⁰Sr et du ⁹⁹Tc.

-Le ⁸⁵Kr n’a été multiplié que par 3,2 et le ¹⁴C par 3,2 car les rejets de 1990 ont été revus à la hausse par le GRNC (+36% et +120%). Le tritium a été multiplié par 3,2 entre 1990 et 1999.

-Le ³⁶Cl et le ⁹⁰Sr ont fait l’objet de campagnes de mesure spécifiques visant à vérifier la présence d’une activité mesurable dans les effluents gazeux. 

Il existe un écart de bilan important pour l’iode 129 durant les années 1990.

Entre 1988 et 1993 l’iode 129 les effluents liquides présentent une activité moyenne inférieure de 24,6% à l’activité théorique attendue.